Basilica Virsin

Nom :
Virsin
Prénom :
Basilica
Age :
130 ans
Race :
Elfe


Physique :
Taille moyenne, mince avec un physique sportif qui a subit un entraînement depuis plus d’une centaine d’année. Visage ovale avec un née fin, des yeux brillant vert émeraude et profond, une chevelure longue onduler et blanche qui reflète l’éclat de la pleine lune.
Vêtement :
Porte une robe en toile blanche, longue jusqu'au mi-cuisse, ornée de boucle en or. Porte une ceinture épaisse qui lui permet de porte des objets. Possède des gants noirs et des bottes noires.
Armes :
Epée longue au pouvoir de la lumière faite d’un fer blanc ensorceler, et d’un arc en bois blanc d’Adam



Caractère :
Basilica est une personne d’assez fermer qui n’aime pas forcément montrer ses sentiments envers les autres. Préférant être seul, elle est plus souvent seule qu’en groupe pour accomplir certaine tache. Mais elle fait preuve d’une fidélité et d’une loyauté envers son souverain. Guerrière chevronner, elle se donnera toujours à font quant il s’agira de protéger les siens ou les personnes dont elle en à la garde. Mais derrière cette muraille, se cache une personne sensible qui a le sentiment d’être incomprise.
Particularité :
Peu faire appel a l’énergie de la lumière grâce à son épée et a l’énergie de la nature. Grande agilité physique. Peu faire appel a ses pouvoirs de soin.



Famille :
Commerçant Elfique tenant un magasin d’équipement magique de haute qualité. Eltaïr et Elewen Virsin, et une petite sœur Saphir.
Histoire :
Bien que mes parents soit de simple commerçant, je subis très jeune a un entraînement intensif pour devenir une guerrière digne d’un garde du corps. Dextérité et agilité n’avaient plus de secret pour moi. Mon maître ne me lâchait pas d’une semelle. Homme sévère et sans pitié, je subissais des entraînements jusqu’au sang tant que se n’était pas parfait. Je n’avais malheureusement aucun bon souvenir de cette période qui a durée presque plus de 50 ans. Mes parents m’avaient abandonné à un avenir qui n’avait aucun bonheur a mes yeux. Ce que je voulais, c’était m’enfuir le plus loin possible en espérant ne jamais revenir, mais on ne me lâchait jamais des yeux jusqu'à ce que j’abandonne cette idée. Après cet entraînement intensif, j’accomplis différente tache que me confiait mon seigneur, garde rapprocher, escorte, quêtes. Je me rendais compte que ma vie se résumait seulement à obéir à des ordres, je dut me résigner.
Et puis un jour, ce que je redoutais sans doute le plus arriva. J’avais une petite sœur. Cette petite sœur qui aurait dû être moi a ma naissance, l’héritière de la famille Virsin, la famille commerçante. Mes parents se montraient totalement différent avec elle, ils ne l’envoya pas a l’entraînement intensif pour qu’elle devienne un soldat, elle ne devient pas une machine a tué pour servir le pays, elle devient la vraie fille de la famille aimer. Je comprit à ce moment la que mon père aurait voulut avoir un fils au lieu d’une fille comme première enfant. Et pour combler cette différence, il m’avait envoyé à la guerre. J’eus l’impression d’être poignarder dans le dos.
Donc je n’entretenais aucune relation personnelle avec ma famille, je la traitais comme de simple citoyen, leur rendant seulement visite pour me réapprovisionner. Je ne venais donc que rarement, et donc c’était rarement que je voyais Saphir. A chaque fois que je l’apercevais, elle avait grandit toujours plus. D’une petite fille a une adolescente, d’une adolescente a une jeune adulte inexpérimenté. Et puis un jour, ne l’ayant vu que rarement, elle me demanda une quête pour passer du temps avec moi. Étant au service du peuple, je ne pouvais pas refuser, je l’escortais donc d’un village a un autre pour faire de la publicité. C’est à ce moment la que j’eus une conversation réelle avec un membre de ma famille. En vérité Saphir m’admirait et désirait être comme moi, une personne forte et courageuse pour parcourir le monde, et elle voulait que je vienne la voir plus souvent. Surprise d’un tel intérêt pour moi, je ne savais pas trop quoi dire. Je ne savais pas être une grande sœur, c’est donc en me prenant la main que je finis par accepté. Une véritable relation avec ma petite sœur commença.

Un autre événement dans ma vie me marqua, lorsque je me fit une certaine réputation, je m’occupais de charge de plus en plus gros. Cette foi la c’était un ravitaillement de matériaux qu’on ne trouvait presque pas. Le risque de se faire attaquer sur la route était trop élever, j’avais donc tenté de faire changer d’avis le seigneur de ce transport, mais rien n’y fait. Je fut donc envoyer au boucher. Une embuscade de grande ampleur arriva et les dégâts fut très lourd. J’ai crut que j’allais mourir. Les adversaires étaient beaucoup trop nombreux pour que je puisse défendre le chargement ainsi que mes compagnons. Gravement blesser, je gisais par terre, agonisante, trop faible pour me soigner. Lorsqu’on ma trouver, j’étais à l’article de la mort et seulement deux autres de mes compagnons ont put être sauver.
Ma convalescence dura plus d’un an. Mon Maître me rendit visite et me fit la morale, me disant que c’était une honte d’avoir perdu le chargement. Mon seigneur me pardonna mon échec mais je fut dégrader de mon rang pour une retraite soit disant mériter.
Depuis ce jour je vis en tant que mercenaire pour gagner ma vie. Mais ma vie, n’a plus vraiment d’intérêt.