Jade : donnez votre avis stp

Ils galopaient à pleine vitesse dans la pleine au pied de la citadelle, riant tout les deux aux éclats. Les surplombant du plus haut balcon de la cité, le seigneur de celle-ci se laissa s’attendrir par l’amitié qui liait son fils, et cette jeune cavalière. Il les regarda galoper encore quelques minutes quand s’agrippant à la rambarde, il fronça les sourcils, étant descendus de cheval pour les laisser boire, son fils s’était approché petit à petit d’elle, il se pencha pour embrasser la jeune femme. Assit là près de ce ruisseau elle faillit se débattre mais finalement elle laissa libre court à ses sentiments, elle se laissa faire, ce fut un moment magique, à la fois doux et soyeux mais aussi sauvage et libérateur prouvant par ce geste son amour à l’égard de cet homme
Un grognement rauque s ‘éleva de la gorge de ce seigneur : son fils unique avec une simple cavalière ! Cela ne se passerait pas comme ça !
-garde ! S’écria-t-il
Un homme en faction devant la porte, entra précipitamment
-maître ! S’inclina-t-il
-Va me chercher Saïd ! Immédiatement !
-oui maître ! L’homme sortit rapidement
Pendant ce temps Ilan le seigneur de la région s’approcha d’une tapisserie brodée sur le mur de ses appartements, c’était une magnifique œuvre brodée de files d’or et d’argent, avec des dimensions présentant un arbre généalogique, il se pencha vers le bas, suivant du doigt le fil d’or qui le reliait à son fils et à sa femme, puis celui qui le liait à sa mère et elle-même à sa sœur, mère du roi.
Le roi étant fils unique et n’ayant aucun frère allait prendre comme héritier le fils de l’un de ses cousins, le 3eme cousin étant mort il ne restait qu’Edwin le fils d’Ilan. Il deviendrait prince héritier, puis roi et il épouserait la princesse de seïgle, pour réunir les deux royaumes ! Et rien d’autres, jura-t-il sur la tombe de ses ancêtres.
On toqua à la porte …
-Entrez !
-vous m’avez fait appelez maître ! Salua un homme en entrant, vêtus d’une cape noire, le capuchon rabattu sur sa tête on ne voyait rien de lui
-ah Saïd ! J’ais une mission pour toi.
-Je suis à vos ordres !
-Mon fils aurait une petite amie. Je ne le permettrais pas. Fouine, fouille, espionne. Ramène moi le plus d’information possible sur cette petite garce. Et vient me faire ton rapport ici tout les soirs dés la fin des repas ! Comprit !
-J’entend et j’obéit maître.
-Bien ! Tu peux disposer.
Le dénommé Saïd, sortit discrètement telle une ombre et alla se poster sur le rempart qui dominait la cour principale. Il attendit … longtemps…

Edwin et son amie rentrèrent à pieds tenant leur cheval par leur longe ; Edwin passa un bras autour des épaules de la jeune fille, dans lesquels elle se blottit
-jade ? Appela t-il doucement
Elle tourna vers lui un visage baigné de la lumière du soleil couchant, celui-ci entouré de la cascade noire de ses cheveux semblait irradié de l’intérieur, ses yeux étaient d’un bleu profond comme le fond de l’océan et pétillants d’intelligence, enfin les traits et les contours de ce visage finement tracé lui donnaient des allures gracieuses, c était comme sauvage.
-Oui ? Demanda-t-elle
-je voulais … enfin je voulais te demander si … tu ne regrettes rien ?
Jade s’éloigna un peu pour planter ses yeux bleus marines dans son regard gris acier
-Que voudrais tu qu’il y est pour me faire regretter ?
-je … en fin je ne sais pas … tu ne crains pas mon père ? Demanda-t-il anxieux
-Je t’aime et personne ne peut se mettre en travers de ça, hormis toi ! Lui chuchota-t-elle en l’embrassant
-et j’en suis heureux. Lui répondit-il en lui rendant son baiser
Ils rentrèrent ainsi Edwin ne lâchant pas Jade, et elle ne fit rien pour se dégager.
Passé la porte ils s’arrêtèrent ; Jade devait continuer vers les faubourgs tandis qu’Edwin devait rejoindre la citadelle de la cité.
-Bon … et bien … voilà ! Lança la jeune fille
-voilà. Répondit il
Ils s’éloignèrent chacun dans deux directions différentes, la mort dans l’âme ; quand Edwin n’y tiens plus
-Jade ! Interpella-t-il en se retournant
-oui ? Répondit elle en se retournant à son tour
-viens avec moi ! Je te présenterais à mon père et il comprendra je te le promet ! Lâcha-t-il d’une traite en lui prenant les mains
-Oh ! Edwin … je t’aime mais …. Il est encore un peu tôt. Ton père ne m’acceptera pas comme cela. Attendons encore un peu, s’il te plaît !
-Mais …
-S’il te plaît !
-comme tu voudras ! Finit-il par capituler
Elle l’embrassa puis s’éloigna et finit par lâcher ses mains, pour se retourner et partir en courant.
Edwin resta là la main tendue, dans la direction où elle avait disparut. Avant d’effleurer sa joue là ou elle l’avait embrassé ; il finit par se retourner pour partir, le cœur en fête mais la tête pleine de soucis, sans se douter un instant qu’une ombre telle un chat les surveillaient et suivit Jade.

Celle-ci s’éloigna en courant mais en riant aux éclats, c’est dans cet état d’euphorie que sa meilleure amie Kelly la trouva
-Eh bien ! Je crois ne t’avoir jamais vus aussi heureuse. Lança-t-elle en s’approchant par derrière
-oh Kelly ! Je viens sûrement de passé les meilleures heures de ma vie
-je vois ! Lança-t-elle avec consternation, avant de lancer un grand « hourra » strident
-Quoi ? Lui demanda jade
-Comment s’appelle t’il ? Lui redemanda-t-elle en s’asseyant à ses cotés encore plus excitée que la jeune femme ; Ne me dit pas que c’est le beau fils de la citadelle avec qui tu étais devenue amie ?
-Si !
-non …
-Eh si !
-et alors ?
-Et bien … on s’est embrassée !
-Non ! Tu n’as pas fait ça !
-Si ! Répondit elle en s’assombrissant légèrement
Ce qui n’échappa pas à Kelly qui la connaissait trop
-mais ? Finit elle par demander après un moment de silence
-c’est le fils du seigneur et il m’a …. Proposé de me présenter à son père !
-QUOI ?
-je ne crois pas que tu sois sourde ! Répliqua jade
-Mais c’est … à la fois de la folie et génialissime ! Et tu lui as répondu quoi ?
-Que l’on ferait mieux d’attendre, que ce fût trop tôt.
-oh ! … je vois. … Je suis tellement heureuse pour toi !
-Merci. Répondit elle en souriant
-Tu pourrais l’inviter à ton anniversaire dans un mois pour nous le présenter ? Non ?
-On verra c’est peut-être un peu tôt …
-Ce n’est qu’une petite fête entres amis ! Argumenta-t-elle implorante en la coupant
- Pour te le présenter ! Tu vas lui faire peur ! Finit elle
-…
Cela coupa immédiatement son amie, qui resta bouche bée avant de sourire

-ça veut dire oui ? Demanda Kelly
-seulement si il est d’accord !
-aucun problème ! Si tu me laisses le soin de tout organisé !
-Mais…
-Il n’y a pas de mais qui tienne ! S’il te plaît ! Implora-t-elle
-…D’accord si cela te tient tellement à cœur
-MERCI ! Hurla-t-elle
Jade se demanda si elle ne venait pas de faire une bêtise, mais devant la joie de son amie, elle ne put s’empêcher de sourire
Bras dessus bras dessous, elles s’éloignèrent vers leur appartement
L’ombre se glissa derrière elles sans les lâcher d’une semelle et ne perdant rien de la conversation.

Pendant ce temps Edwin remonta la grande rue vers la citadelle, réfléchissant aux événements passés ; en ce moment il était l’homme le plus heureux du monde. Le visage de Jade flottait dans son esprit. Sa longue chevelure de jais, ses yeux d’un bleu océan, sa bouche fine et sensuelle, ainsi que ses traits finement tracés formaient dans la tête du jeune homme le portrait d’une fille encore plus belle qu’une déesse. Il ne se rendit compte qu’il était arrivé à la Citadelle que lorsque les gardes lui ouvrirent la porte en le saluant, ne sachant pas pourquoi il rougit et se dépêcha de passer les portes en balbutiant un bref salut devant les sourires indulgents des deux hommes en faction.
Il courut presque jusqu’a sa chambre ou il s’allongea dans son lit se remémorant pour la énième les moments de bonheur intense passé avec la jeune femme ; il se souvient de leur première rencontre.

Jade s’entraînait dans l’arène de la citée en compagnie de ses amies qui combattaient à ses cotés. Il n’était alors qu’un jeune homme assez timide qui ne savait pas trop quoi faire, démunis au milieu de tout ses groupes maîtrisant déjà la science des armes alors que lui débutait à peine, il s’était emparé de son arc et avait tenté maladroitement d’atteindre les cibles avec ses flèches, étant le fils de la Citadelle et son père ayant la mauvaise réputation d’être un homme violent. Tout le monde préférait se tenir éloigné du nouveau, mais quand il se blessa Jade eut pitié de lui et l’avait abordé, lui montrant comment tenir correctement l’arc et tirer avec précision elle devint rapidement le mentor de celui-ci. Elle s’était toujours fichue des origines du jeune homme qui avait le même âge qu’elle mais qu’elle venait de placer sous sa protection aux yeux des autres habitants de la Cité. Ainsi personne n’osa plus se moquer du petit noble, qui prit rapidement de l’assurance et s’adapta à ce qu’on appelait « le peuple », un jour pourtant quelque un vient contester le bonheur qu’il avait acquis, alors qu’il attendait Jade et ses amis à l’entraînement, un homme vêtus de noir s’approcha de lui
-Que fais tu ici sale noble ! Vociféra t’il
-j’attend ! Avait répondu Edwin très calme, en se plaçant de travers comme lui avait enseigné la jeune femme
-Tu ferais mieux de rentrer dans ton palais ! On ne veut pas de toi ici ! Gronda celui-ci en réponse
Le jeune homme allait répliqué quand une lame s’abattit violemment à quelques centimètres de lui, par réflexe il sauta en arrière loin de son ennemi « cette fois s’en était trop » songea t’il, il libéra sa lame qui chanta en sortant du fourreau et para le premier coup avec aisance ; mais son adversaire frappait sa lame avec une force inouïe
Entendant le cliquetis des armes Jade et ses amis s’étaient précipités vers les combattants, faisant cercle autour d’eux la jeune femme n’avait pas laissé paraître sa peur attendant plutôt le bon moment pour intervenir.
La vue de sa protectrice décupla les forces d’Edwin qui passa à l’attaque, enchaînant feintes, parade et estoc tout en changeant de main et en étant aussi insaisissable qu’un feu follet, il réussit à désarmer son adversaire et à le jeter au sol. Ne poussant pas plus loin son avantage il rengaina sa lame, et s’éloigna ...
Quand un fracas de lame assourdissant retentit près de son oreille, il se jeta dans le sens opposé et jeta un coup d’oeil à la scène, l’idiot qui l’avait provoqué s’était relevé et avait tenté de le transpercer par derrière, mais la lame de jade s’était interposé. En deux ou trois mouvements elle le désarma à nouveau et d’un coup au sternum l’envoya mordre la poussière. Elle leva sa lame prête à transpercer son ennemi et l’abaissa violemment clouant la main de sa victime au sol.
-Il n’y a que les lâches pour attaquer par derrière ! Avait elle simplement lancé en libérant sa lame et en s’éloignant.
Les amis de la jeune fille, Kelly en tête avaient encerclé l’homme tendit qu’Edwin s’élançait à la recherche de sa sauveuse.
Il la trouva hors de l’enceinte du château, dans la clairière où elle appréciait tant se retrouver.
Une fois de plus le fils de la Citadelle ne put s’empêché de s’imprégner de la sérénité des lieux ; s’était justement grâce à sa grande perception des choses que la jeune femme avait accepté de lui montrer cet endroit merveilleux. Au centre du cercle de lumière coulait une petite source au reflet argenté à coté de laquelle, assise sur un tapis de fleur se tenait celle qu’il cherchait, comme à chaque fois qu’il la voyait il ne put s’empécher d’admirer les courbes gracieuses de son corps, son visage rayonnant ... Il l’aimait !
Il la vit relevé la manche de sa tunique en grimaçant, sur son épaule une profonde plaie saignait abondamment.
Lui même grimaça et bondit hors de la protection des arbres, s’approchant de la jeune femme à pas vis et sans lui laisser le temps de protester il lui attrapa le bras pour examiner la blessure, déchirant un morceau de sa propre tunique pour nettoyer la plaie
-quand t’es tu fais ça ? Demanda t’il avec douceur tout en continuant à panser la blessure qui ne saignait presque plus.
Quand elle fut à peu près propre Edwin lui fit un solide pansement tout en lui faisant promettre d’aller voir un guérisseur
-Alors ? Redemanda t’il en se nettoyant les mains dans le petit étang
-disons que ... La coup n’a pas été aussi facile que ça à arrêter ... C’était une faute de débutante j’ais laissé sa lame ripé sur la mienne et elle m’a entailler l’épaule, je ne m’attendais pas à une si grande force. Avoua Jade en regardant le ciel
Edwin comprit à quel point elle s’en voulait mais il ne voyait pas pourquoi ... Où plutôt il devina qu’elle lui cachait quelque chose
-Qui a t’il ? Finit il par demander après un silence pesant
-j’aurais dut empécher ce combat ! Lâcha t’elle
-comment aurais tu fais ? Il n’était pas prévus !
-hier ...j’ais reçu une lettre de ce type qui disait que si tu étais là ce matin il te tuerais ! Et je ne l’ais pas pris au sérieux. Avoua la jeune femme
-QUOI ? ...
-Je sais j’aurais dut t’en parler mais je ne savais pas et ...
Le rire grave d’Edwin s’éleva dans la clairière.
-et c’est pour ça que tu me fais la tête
-je ne te fais pas la tête ! J’ais eus pe ... Se rendant compte de ce qu’elle allait dire Jade se tut subitement
-oui ... L’encouragea celui-ci
-... J’ais eus peur pour toi ! Voilà tu es content ?! Je te l’ais dit ! S’énerva la jeune fille
Edwin ne répondit pas, passant un bras autour de ses épaules. Lui montrant par ce geste qu’il ne lui en voulait pas. Mais quelque chose l’inquiétait .... La réaction de Jade bien que justifié était disproportionné, elle lui cachait encore quelques chose
-Je ne t’en voudrais jamais. Assura Edwin en la rassurant ; mais par contre ceux qui risque de t’en vouloir ce sont tes amis ! Lança t’il malicieusement
Elle lui donna un coup de coude dans le ventre sans toute fois lui faire trop mal vus qu’il portait sa cuirasse.
-Ce sont tes amis aussi ! Ils se sont précipités en même temps que moi pour t’aider !
-Vraiment ? Demanda Edwin incrédule mais avec un fin sourire ; Ils ne connaissent même pas mon nom.
-oui mais... Grrrrr t’as gagné ! Et maintenant rentrons. Il va bientôt faire nuit et je ne tiens pas à passer la nuit dehors, si les gardes referment le pont-levis ce soir !
-En route alors.
Aidant la jeune femme à se relever pour économiser son bras, ils s’éloignèrent vers la Cité devant laquelle ils se séparèrent au même endroit, où il venait de se séparer une heure auparavant

Edwin se réveilla en sursaut, il ne s’était même pas rendus compte qu’il dormait et la nuit était tombée. Tout en grognant il prit une tunique propre, et se dirigea vers les bains pour purifier son corps, il possédait pourtant ses propres bassins mais au contact de Jade il avait appris à apprécier la compagnie. Mais tout cela dans le plus grand secret car son père aurait très certainement désapprouvé à grands cris.
La salle des bains était une grande sale taillé dans la pierre d’ou jaillissait une source d’eau chaude, se dévêtissent il pénétra dans l’eau chaude, relâchent chacun de ses muscles pour se détendre. Un autre souvenir l’assaillit à ce moment : c’était il y a 5 mois, le jour du sollicite d’été, mais aussi le jour de son anniversaire. Il n’avait pas pus sortir en ville ce jour-là, mais Jade tout en soudoyant les gardes lui avait apporté son cadeau, il était aux bains à ce moment et elle s’était glissé derrière lui à son insu. Son air outrée et la frayeur qui l’avait eus lorsqu’elle lui avait manifesté sa présence avec un grand cri dans le dos, l’avait fait rire aux éclats. Ce qu’elle était belle lorsqu’elle riait, songea t’il. Elle lui avait offert un magnifique sabre, léger et adapté à sa main ; tout en déclarant que de cette façon il n’aurait plus de raisons de louper ses entraînements. Il avait voulut protester mais la jeune femme s’était enfuis avec un magnifique sourire le laissant avec son arme. A partir de ce jour il en avait fait son arme principale, ne la quittant jamais, pour lui elle semblait vibrer de l’énergie de celle qui l’aimait. Dans un mois maintenant ce serait les sollicite d’hiver, et l’anniversaire de Jade, il avait voulut lui offrir une arme lui aussi, mais elle y était si habituée que cela lui parut fade, pour cette jeune femme exceptionnel, alors avec l’aide du joaillier il forgeait lui même depuis un mois, fin collier de jade monté sur une chaîne d’argent, ce soir encore il se rendrait à la forge dans le plus grand secret pour finaliser ce présent magnifique.
Il se délassa encore 5 minutes lorsque arriva Jérémy, un jeune garçon de 10 ans très prometteur qui cherchait à devenir écuyer pour atteindre le grade de chevalier, et que Edwin envisageait sérieusement de prendre à son service.
-Mon seigneur. Salua t’il en s’apercevant de la présence du fils de la citadelle
-Jérémy ! Comment vas tu ? Lui demanda celui-ci pour éviter qu’il s’en aille
-Et bien ... Euh ...
-Il y a un problème ? Lui demanda t’il
-Le seigneur Ilan a dit qu’il me renverrait d’où je viens si je ne trouvais pas de maître avant demain. Avoua le jeune garçon honteux et aussi rouge qu’une tomate
Edwin réfléchit 2 minutes, il est vrai que Jérémy était encore un jeune garçon et que tous les chevaliers préféraient prendre des écuyers plus âgés
-Que se passera t’il si tu retournes dans ton village ?
-Eh bien ma famille et moi en serions chassé et nous n’aurions plus nulle part ou vivre et avec une bouche en plus à nourrir, sans travail ce serait impossible ! Éclata l’enfant en sanglots
Au contact de Jade petit à petit, Edwin avait appris à exprimer ses sentiments, à être lui même et ne pas montrer seulement ce que l’on souhaitait qu’il montre. Avec compassion il enserra le garçon dans ses bras pour le consoler
-Ne t’inquiète pas. J’ais une solution. Tu vas devenir mon écuyer si tu le souhaites. Déclara le jeune homme
-bouh bouh Mais qu’ ...que puis je faire ? ... Les paroles du guerrier arrivèrent enfin au cerveau de Jérémy.
-QUOI ?? Vous feriez ça ... Pour moi ?
-Oui si c’est ce que tu veux.
-Mais ... J’en saurais honorer ... Maître! S’écria l’enfant avant de bondir au plafond en poussant des hurlements de joie
-Calme toi ! Petit monstre. S’écria le nouveau maître en riant
Le jeune écuyer s’arrêta immédiatement en demandant à son maître ce qu’il devait faire
-pour le moment rien ! Viens te purifier et ensuite nous passerons chez le couturier et le forgeron !
Sans répliquer l’enfant obéit et se lava avec vigueur pendant qu’Edwin se demandait comment annoncer cette nouvelle à Jade

(sifflements) Wow !! C'est génial !!! Continue !!!!! Ze veux la suite !!!

lol !! bientôt ! demain surement

oki !!

Super j'ais adorée ! vivement la suite !

Voilà <voilà !

Ils sortirent de l’eau et l’enfant força son maître à s’asseoir pour qu’il lui peigne et attache ses cheveux dans un lacet de cuir. Lorsqu’il estima son maître présentable ils se rendirent ensemble chez le couturier pour faire préparer le nouveau costume d’Écuyer de Jérémy, avant de se rendre chez le forgeron pour faire préparer une épée et un poignard adopter au jeune garçon, pour enfin se rendre chez le palefrenier.
-Maître ? Votre cheval a t’il un problème ?
-non !
-Mais alors pourquoi allons nous chez le palefrenier ?
-Lorsqu’un enfant devient écuyer la tradition veut que son maître lui offre un cadeau.
-Oui, les armes et la tunique.
-Ok en attendant je dois allez voir le Maître des écuries.
-Mais ...
-Dans le règlement des écuyers il y a une règle comme quoi ceux-ci ne doivent pas harceler leur maître.
Lui rappela Edwin pour lui demande d’arrêter cette conversation
Ils continuèrent vers les écuries, où Edwin salua les Palefreniers
-Je souhaite acheter un cheval et vous parlez maître. Lança le fils de la Citadelle
-bien. Commençons par allez voir les chevaux. Proposa l’intéressé
-Non. Mon écuyer va s’occuper du cheval. J’aimerais vous parlez immédiatement. Jérémy ! Va dans le pré là-bas et choisis un beau cheval.
Un brouhaha étonner s’éleva lors de la mention du nouveau statut du garçon
-Mais maître, le cheval qui me plaira ne vous plaira pas forcement...
-On verra bien ! Sois ici avec le cheval dans 5 minutes !
-Bien maître.
Edwin s’éloigna avec le maître palefrenier tandis que Jérémy s’avança vers le près. Regardant tout les chevaux, son regard fut immédiatement attiré par un cheva balzan à la crinière de feu et au regard intelligent. Avec précaution l’enfant s’approcha du cheval mais celui-ci vint lui mettre son doux museau dans le coup immédiatement. L’enfant lui passa un licou et le ramena dans les écuries, avec adoration il caressa le cheval jusqu’a ce que son maître arrive.
Edwin jaugea rapidement le cheval dés son arrivé, d’une belle couleur il paraissait intelligent et robuste, et aussi jeune que le garçon lui même.
-Ce cheval te plaît ? demanda Edwin
-il ne vous plait pas maître ?
-Je t’ais posé une question !
-oui. Avoua le garçon
-bien. C’est donc réglé. Il faudra que tu lui trouves un nom et qu’on te trouve une stalle.
Edwin s’éloigna en continuant la liste de ce qu’ils devaient faire mais Jérémy semblait tétanisé sur place.
-y a un problème ? Demanda son maître
-vous ... Vous parlez de ... Ce cheval comme si il était mien ... Avoua le jeun garçon en se sentant idiot
-oui ! Ce cheval et le tien. C’est ton cadeau d’Écuyer.
Le jeune garçon resta immobile une fois de plus, et Edwin prévoyant, se boucha les oreilles, à l’incompréhension générale, mais cette mesure sembla très justifié, lorsque l’enfant se mit à hurler de joie
Edwin parvint à le bâillonner entres les « oh merci maître » et les « c’est génial »
-si tu veux le garder, pour qu’il ne s’enfuie pas, il faudrait que tu arrêtes de lui hurler dans les oreilles !
Effectivement le cheval devint renâclant, les oreilles penchées en arrière. Jérémy s’empressa de l’apaiser à l’aide de caresse, et de carottes.
Il faisait nuit depuis au moins deux heures, songea Edwin, se dépêchant il repassa chez le couturier récupérer une première tunique, avant de rentrer au château.
Les nouvelles circulaient vite car les servantes avaient déjà rajouté un lit au pied de son lit pour son nouvel Écuyer qui avançait timidement devant le luxe de la chambre qui exaspérait toujours son maître
-Prépare toi ! Ce soir nous dînons à la table du seigneur Ilan.
-Mm... Moi ... Aussi ?
-Bien sûr ! Tu es mon Écuyer tu dois rester avec moi !
Restant sans voix le jeune garçon s’habilla rapidement avant de se porter au secours de son maître qui ne s’en sortait pas avec sa longue tenue certi de pierre précieuse, avec habilité celui-ci l’habilla en un tour de main.
Edwin ne put que sourire au jeune garçon et une certaine complicité s’installa déjà entres eux.
Parcourant les gigantesques couloirs orné de tableaux, tapisseries ou de peintures ; les deux hommes se rendirent dans la salle à manger du seigneur Ilan.
Le Majordome salua le fils du seigneur avec révérence mais voulut empêcher Jérémy de passer
-mais ...
-Il n’y a pas de mais ! File d’ici petit chenapan ! Tu ne voleras rien ici ! Je t’avais prévenus que je te ferais couper les jambes la prochaine fois !
-Il y a un problème Majordome ? Demanda alors Edwin
-non mon seigneur. Je m’occupe de ce petit désagrément.
Avant qu’Edwin ne puisse faire un geste ou dire un mot, son interlocuteur fit un signe aux gardes qui dégainèrent leur armes en s’approchant, l’air menaçant. Ces deux là n’était que deux idiots qui ne faisaient qu’obéir aux ordres au pied de la lettre et tout dans leur attitude clamait, qu’ils allaient mettre la sanction à exécution. Jérémy resta pétrifié devant les armes de ses adversaires. Laissant tombé son air d’idiot et d’incompétent qu’affichait le jeune homme d’habitude. Celui-ci se redressa et se plaça en garde devant son protéger. Bien qu’il soit à mains nues. Les deux soldats n’hésitèrent pas à attaquer l’avorton qui se mettait en travers de leur route. Malgré les hurlement de leur employeur. Le premier abattit sa lame à la verticale, pour fendre le crâne de son adversaire, mais celui-ci l’évita en se glissant le long de son bras. D’une clé au poignet imparable, il le désarma. Récupérant son arme d’un même mouvement il le mit au tapis d’un coup de pied au sternum. Pendant ce temps sur leur droite, le second garde s’approcha de Jérémy, riant aux éclats devant le petit garçon tétanisé. Il allait abattre sa lame, tranchant le garçon lorsqu’une lame s’interposa.
Edwin voyant son apprenti en danger avait délaisser son adversaire pour se porter au secours de celui-ci. Il mit les quelques secondes de surprise du soldat pour se placer entres lui et sa victime. D’un regard circulaire il analysa la situation. Jade lui avait appris à se battre contre un adversaire, mais jamais contre deux, il para un premier coup mais faillit se faire décapiter par le second, il ne l’évita que de justesse en se jetant en arrière. C’était peine perdu, ses deux assaillants étaient peut être des idiots mais ils démontraient une grande habilité au combat en tandem et bientôt le jeune homme se retrouva acculé contre le mur, sans pouvoir attaqué, il parvenait de moins en moins à tenir sa garde. Malgré son habilité au combat rapproché, la lame d’un de ses adversaires lui entailla l’épaule. Il ne put retenir un grognement de douleur. Ce fut suffisant.
Un déclic se produisit dans l’esprit de l’Écuyer. Retrouvant brusquement sa mobilité et sentant monté en lui une bouffé d’adrénaline, il s’empara d’un des sabres ornant les murs et se jeta au milieu du combat au coté de son maître.
Grâce à cette aide inopiné Edwin put reprendre l’avantage sur un de ses adversaires. Jérémy ayant été élevé dans les montagnes avait appris à manier le sabre très tôt et se débrouillait assez bien pour tenir occupé le deuxième soldat. Rassuré sur son sort son maître put se concentrer sur son combat. Ayant retrouvé sa mobilité celui-ci utilisa toutes ses ressources au combat, pour déstabiliser son adversaire. Changeant de main, il réussit à passer derrière le soldat et à l’assommer avec le pommeau de son sabre. Ne prenant pas le temps de reprendre son souffle, il s’élança vers le second combat. Jérémy n’osait pas frapper son adversaire de peur de le blesser. Celui-ci riait aux éclats jouant avec sa proie. Qu’elle ne fut pas surprise lorsque Edwin apparut dans son champ de vision. Aidé de son maître, ils parvinrent à l’assommer jusqu’à au moins demain.
Tandis que son protégé s’effondra au sol Edwin ramassa les sabres de ses ennemis, avant de vérifier si celui-ci n’était pas blesser, celui-ci comme l‘exigeait son devoir pansa rapidement la blessure de son maître et lui fit un solide pansement. Après cette vérification, Edwin se retourna vers le majordome, son visage était déformé par la colère.
-Mais seigneur, vous êtes fous ! Pourquoi vous être interposé ce n’es qu’un simple voleur ! ...
-Fermez là !
Le ton de son interlocuteur était glaciale et tranchant, et le pauvre homme se replia sur lui-même s’appliquant à essayer de faire diminuer son 1m90 à un 1 petit mètre.
-Ce garçon est mon écuyer et qui qu’on que aura le courage de l’attaquer aura affaire à moi ! Est ce clair ?! Gronda celui-ci
-V...Vo...Votre ... Écuyer ??
-oui ! Maintenant hors de ma vue ! Immédiatement !
En maugréant dans ses dents, et en examinant sa blessure. Il entra dans la salle à manger, mais il semblerait qu’il ait oublié ou est ce qu’il avait combattu. Déjà une vingtaine de soldat de la garde d’élite formait une haie défensive entres la porte d’entrée et le seigneur Ilan. Les deux personnes entrant s’arrêtèrent une épée à quelques centimètres de leur visage à peine. Jusqu’a ce qu’une voix s’élève
-baissez vos armes c’est mon fils ! S’écria un personnage imposant, qui bouscula les gardes pour s’approcher, de grande stature, il possédait les même yeux gris aciers que son fils, et quelques mèches dorés perçait encore sa chevelure grisonnante. Le seigneur Ilan
-Mon seigneur ! Salua le jeune homme en s’inclinant
-mon fils ... Mais tu es blessé ! S’écria celui-ci en apercevant la tache écarlate sur la tunique de son enfant
-ce n’est rien père. Juste une égratinure. Les protagonistes de cet émoi ont été neutralisés ! Ils sont assommés dans la salle d’à coté !
Immédiatement tout les hommes sortirent avec précipitation. Tandis que le seigneur Ilan invita son fils à s’asseoir, mais celui-ci fit amener un troisième siège pour le garçon qui l’accompagnait.
-Dois-je en déduire que tu as pris cette jeune personne comme Écuyer ? Demanda le seigneur de la citadelle en détaillant l’intéressé
-Oui père.
-Tu es bien chanceux d’avoir un noble tel que mon fils comme maître. J’espère que tu en as conscience? Jérémy jeta un regard en biais à Edwin, le règlement des chevaliers interdisait aux écuyers de répondre aux seigneurs, mais celui-ci resta de marbre. Alors il décida de répondre
-bien sûr mon seigneur. Et je serais toujours extrêmement reconnaissant à mon maître de m’avoir accueillis dans sa maison !
-Je crois que tu veux devenir chevalier. Mais mon fils n’es pas un combattant émérite tu dois aussi en avoir conscience.
L’intéressé se crispa, il voyait clair dans le jeu de son père, il désapprouvait son choix et cherchait à le discréditer auprès de l’enfant. Il s’apprêta à répliquer mais son Écuyer le devança en répliquant avec véhémence
-Mon Maître vaut n’importe quel chevalier et j’ais pour lui le plus profond respect !
-Mais il n’a jamais tenu un sabr...
-Cela suffit ! S’exclama son maître ; Jérémy tu dois le plus grand respect au seigneur de la citadelle. Répliquer ainsi t’es interdit ! Gronda t’il avec autorité, mais aussi pour éloigner le sujet de la conversation vers des terrains moins risqués
-Je m’excuse maître ! Répondit ou plutôt balbutia celui-ci en baissant la tête, honteux
-Ce n’est rien Edwin ! Apaisa le seigneur Ilan, la fougue de la jeunesse tu étais pareil à cet âge !
-Père Jérémy est mon écuyer. C’est à moi de juger ce qu’il doit faire ou non !
Répliqua Edwin indiquant implicitement à son père, qu’il garderait celui-ci auprès de lui quoi qu’il en pense.
-Maintenant excusez moi, mais je suis las. Continua t’il en se levant pour partir, l’enfant sur ses talons.
Il parcoura les couloirs jusqu’a ses appartements à grande enjambés. Et claqua la porte derrière eux.
Dans la chambre ils mangèrent en silence jusqu’a ce que Jérémy mal à l’aise, décida de briser la glace.
-Maître ?
-Oui ? Demanda Edwin en soupirant et en tournant vers lui un visage indulgent
-je voulais m’excusez pour tout à l’heure, je vous ais placé dans une situation gênante et je ...
-Ne t’inquiètes pas ! Ma colère n’est pas dirigée contre toi mais contre mon père. Et ce qu’il insinuait.
-Qu’insinuait il ?
-cela ne te regarde heureusement pas. Répondit Le jeune homme avec un sourire en coin
-Mais ...
-Ce que tu dois savoir c’est que celui-ci ignore que je sais me servir d’une arme.
-Quoi ? Mais comment est-ce possible ? Le maître d’armes n’a pas pus vous apprendre à manier les armes sans en référer au seigneur de la Cité.
-Qui te dit que c’est lui qui m’a apprit ? Demanda t’il avec un sourire malicieux
-Quoi ? Mais alors qui ? Demanda le jeune enfant excité comme une puce par le secret que lui révélait son maître
-Tu verras demain ! Je te la présenterais.
-Génial ... Quoi ?? La ? C’est une femme ? S’exclama Jérémy avec de grands yeux ronds
-Et oui. Mais tu dois jurer de n’en parler à personne.
-Je le jure sur ma vie maître ! Répondit celui-ci les yeux brillant de nouveau d’admiration pour ce personnage mystérieux
-bien maintenant dort ! On se lève tôt demain !
Le jeune Écuyer sous le coup de toute ces émotions pour la journée, s’endormit dés qu’il eut posé sa tête sur l’oreiller.
Edwin n’alla pas se coucher immédiatement, il sortit sur le balcon pour contempler les étoiles. Son regard se porta ensuite sur les faubourg illuminé de la ville, là ou habitait celle qu’il aimait. Regardait elle en ce moment les même étoiles que lui ? Une grande tristesse s’abattit sur lui à ce moment, elle lui manquait tellement...
Quand le froid perça sa tunique, il rentra à l’intérieur, Jérémy dormait toujours. Son maître s’approcha de lui, remontant sa couverture sur ses épaules il l’embrassa sur le front. Avant de se débarrasser lui même, avec difficulté, de sa tunique d’apparat pour aller se coucher. Mais le sommeil fut long à venir, le visage de Jade lui revenant sans cesse à l’esprit.

Pendant ce temps, Jade rentra chez elle. Elle tourna la clé dans la porte de la maison qu’elle possédait grâce à ses parents qui lui avaient laissé avant de partir à l’autre bout du royaume, et le jeune femme avait insisté pour que Kelly puisse habité ici. Elle tourna la clé. Quand elle se retourna brusquement, elle se sentait observé et son instinct lui avertit que ce n’était pas une observation bienveillante.
Kelly sortit son sabre
-qui a t’il ?
-on nous observe !
-Qui ?
-je l’ignore.
-Allié ou ...
Devançant sa question Jade la coupa
-ennemi !
Elle jeta un regard circulaire.
Au loin dans une autre rue, l’ombre noir sourit. Sa proie n’était pas bête et cela le changea agréablement. Plus la difficulté est grande et mieux sera la récompense. A pas de loup il se dirigea vers le haut de la cité pour faire son rapport à son maître.

Veux la suite, veux la suite !! C'est trooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooop bien !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Alors, juste 2 remarques : je corrige une faute qui m'a ébouriffée : le mot "quiconque" ne s'écrit pas "qui qu'on que" !!

et la deuxième : J'adore le petit Jérémy !!!

attend la suite .... révélation !!! Jérémy va tomber amoureux d'Eleana .... mais qui est elle ?????

Je sais pas pourquoi, mais ça m'intéresse... lol !!
Mais une chose que j'ai pas dû capter, quel âge il a Jérémy dans cette histoire ?
Et oui, qui suis-je ?
La fille qui décide tout : je me vois bien en fille du "camp du Mal" et puis j'échoue dans une mission, on me capture et puis tout le tralala... lol
J'attends de voir ce que tu vas écrire !! Allez, vite, à ton clavier !!

XD*PTDR

ah !ah! ah! je suis morte de rire !!! pour le moment jérémy est un enfant de 10 ans mais à la fin il sera plus grand et pour Eleana ça tombait bien je ne trouvais pas de nom pour celle dont tomberait amoureuse jérémy

C'est bien ce que je me disais pour son âge !! Et ouais, je tombe toujours à pic !! lol !

Mais alors, va falloir attendre longtemps..................

YES !!

Sadique !! (mais jamais pire que moi ! lol)

*sourire innocent*

BON MAINTENANT, DEPECHE ! ZE VEUX LA SUITE !!!!!!!!!!!

faut attendre un petit peu

VEUX PLUS ATTENDRE !!

-Il a disparut. Finit par déclarer Jade
-encore ton fameux instinct ? Demanda Kelly
-oui. Tu peux rire mais ça m’a toujours réussi. Répliqua la jeune femme
Mais son amie se serait bien gardée de rire ; elle lui faisait confiance depuis le jour ou ce fameux instinct avait permis à Jade de la sauver d’une mort certaine.
-Je te fais confiance. Bon allons manger un morceau et au lit ! Demain on va manoeuvrer dans la forêt.
-pitié ne me dit pas que c’est par régiment. Implora Jade qui décidément ne pouvait pas supporter ce supérieur hiérarchique
-rassure toi. On y vas avec Allia.
-Ouf.
Allia était le chef de l’unité de Jade. Leur lieutenant. Kelly, elle et jade ainsi qu’une dizaine d’autre soldats formait une unité de cavalerie, assez doué. Cette unité ainsi que bien d’autre formait régiment dirigé par le colonel David, un homme arrogant qui ne s’était hissé à cette place, seulement grâce aux relations de son père.
Jade pénétra chez elle, goûtant une fois de plus à la sérénité des lieux. C’était un petit manoir aux pierres roses très mignon. Les deux jeunes femmes se dirigèrent vers la cuisine en discutant ou plutôt en bataillant sur la prochaine fête d’anniversaire. Jade désirait une fête assez simple avec seulement ses amis les plus proches alors que Kelly prévoyait déjà une fête invitant au minimum toute la Citée.
-Kelly ! S’écria la jeune femme ; je n e souhaite pas invitée toute la citée à un simple anniversaire.
-qui t’a parlé d’invité la Citée seulement quelques amis.
-Oui mais le problème c’est qu’il semblerais que tu sois ami avec toute la ville.
-Mais non voyons.
-Je préfère arrêter ici parce que je suis trop crevé pour me battre. Je vais me coucher et si tu étais sage tu ferais la même chose.
-Ne t’inquiètes pas je monte bientôt. Bonne nuit.
-bonne nuit.
Jade grimpa les escaliers jusqu’a sa chambre. De couleur bleu elle était spacieuse et lumineuse. Elle se dirigea vers son lit et s’y allongea sans se dévêtir. L’esprit embrumé par tout ce qu’elle venait de vivre. Elle laissa celui-ci vagabondé et ses pensées s’envolèrent immédiatement vers la Citadelle. Que faisait Edwin en ce moment ? Contemplait-il les mêmes étoiles qu’elle en cet instant ? Il lui manquait tellement. Repassant les meilleures moment de la journée dans sa tête la jeune fille finit par s’endormir en songeant à celui qu’elle aime. Elle n’entendit pas Kelly monté tout doucement en passant par sa chambre pour vérifiez si la jeune femme avait put s’endormir. Lui remontant une couverture sur les épaules, elle ne put s’empécher d’adresser un petit remerciements aux dieux qu’elle connaissait. Un merci pour avoir fait de Jade sa meilleure amie presque sa soeur, grâce à qui elle était devenus ce qu’elle est aujourd’hui. Étouffant un bâillement elle alla se coucher à son tour, le réveil serait dur demain.
Effectivement le réveil fut dur, mais pas dans le sens prévu, Jade qui était debout bien avant l’aube, décida de réveiller son amie. Ou plutôt la faire descendre du lit très rapidement.
Kelly rêvait d’une grande chevauchée fantastique. Quand soudain le ciel sembla s’ouvrir au dessus d’elle. Son amie se munissant d’un seau venait de lui déversée une trombe d’eau glacée sur la tête.
La victime poussa un hurlement de frustration et se précipita vers la salle de bain, revenant avec une jarre plein d’eau, les deux jeunes femmes se livrèrent bataille en riant aux éclats dans la salle de bain, heureusement facile à éponger.
C’est dans cet état d’hilarité, que les trouvèrent Éric et Damien. Leurs deux amis qui se trouvaient dans la même unité qu’elles. Inséparable eux aussi. Ils étaient tout deux grands, mais l’un avait les cheveux noirs et l’autre blond. Les yeux bleu foncés tout les deux, on aurait pus les croire frères et même jumeaux
-Mais qu’est ce qui se passe ici ? S’écria Damien l’homme aux cheveux blond
-je n’en sais absolument rien pour ainsi dire. Répondit Kelly assise à même le sol au milieu de l’inondation
-Jade qu’as tu encore fais ? Demanda Éric
-Kelly est une vraie marmotte, il a bien fallu que je la réveille ! Répondit celle-ci d’un air innocent
-et tu as eut besoin de crée un raz de marée chez toi ? Repris le premier
-Ah non. C’est elle qui a contre-attaqué. Se défendit la jeune fille en désignant sa meilleure amie
-bien sûr c’est logique. Soupira le second
-tu l’as dit ! S’exclamèrent les deux jeunes femmes avec un sourire lumineux et un peu carnassier.
-N’essayer même pas ...
Trop tard.
Sans se concerter les deux compères lancèrent leur récipient plein d’eau à la tête de leurs amis. Elles mirent à profit le temps de surprise des garçons pour recharger. Ceux-ci désorientés repérèrent bientôt leurs adversaire entrain de réarme. Comprenant qu’ils n’auraient pas le temps de s’enfuir ; ils se jetèrent en avant pour immobiliser les deux folles. Ils les plaquèrent au sol et tous roulèrent dans un bel ensemble accompagné de tonnes d’éclaboussure.
-le noyer noyé ! Déclara Éric après avoir fait boire la tasse à Jade
-très drôle. Bon la récréation est finit les enfants. Maintenant on range et on se dépêche de partir si on ne veut pas se faire tirer les oreilles par Allia.
-Tu as raison. Allez tous au boulot !
Tous ensemble la maison fut bientôt remis en état. Les deux filles passèrent leur tenue de cavalière. Et enfin tus se rendirent aux écuries ou les attendaient les chevaux.
Jade s’approcha de sa jument, d’un noir brillant aux reflets bleutés et des yeux pétillant d’intelligence, celle-ci était une monture mais surtout une amie magnifique
-bonjour Chaïne comment ça vas aujourd’hui ? Tu es bien reposé ? Lui demanda sa maîtresse en la grattant derrière les oreilles
Celle-ci répondit d’un hennissement joyeux
-Je prends ça pour un oui. S’amusa la jeune fille en allant chercher sa selle, sa bride et ses rênes.
Tout en continuant à lui parler aux oreilles, Jade la scella rapidement. Avant de monter elle lui donna à boire et vérifia une dernière fois les corroi. Dédaignant les étriers elle monta avec grâce et attendit ses amis.
-Ou vas t’on déjà ? Demanda t’elle
-dans la plaine Enyia. Lui répondit Éric

Cool, ya du suspense !!! C'est trop bien !! Continue !!

euh .... ok mais là va falloir attendre un peu !

D'accord !! T'inquiètes !!

ouais ! parceque il faut l'inspiration pour la suite !

Alors, tu l'as eu ton inspiration ? J'attends !!! XD

LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEeeee !!!!!!!!!!!!!!!!!!